Depuis le 24 janvier dernier, le « Penelopegate » agite l’actualité politique française. L’épouse du candidat des Républicains est soupçonnée d’avoir bénéficié d’un emploi fictif d’assistante parlementaire et de conseillère littéraire à la Revue des deux mondes.
Au-delà des débats portant sur l’éthique, la probité et l’exigence de transparence au sein de nos démocraties, l’affaire n’en est pas moins intéressante d’un point de vue sociologique et managérial. L’histoire peut en effet constituer une opportunité didactique pour mettre en lumière les rapports de genre qui continuent de régir et structurer nos sociétés et organisations. Cette affaire est imprégnée de stéréotypes de genre et attire l’attention sur la persistance des rôles sexués au sein de nombreuses de nos structures sociales.
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