Nos grands-pères jouaient aux échecs, nos pères au « 1000 Bornes » et nous jouons à Clash of Clans. Ces trois jeux ont des règles somme toute assez simples mais avec des développements infinis qui renouvellent les expériences et qui permettent de développer des stratégies, des réflexions. C’est tout l’objectif du jeu : un moyen d’apprentissage et de développement de compétences d’autant plus simple qu’il apporte de la satisfaction.
Comme le rappelle Johan Huizinga (1938), le jeu est « indispensable pour l’individu et pour sa culture ». Au-delà de l’aspect ludique, il engage souvent une dimension compétitive, avec par exemple les classements ELO aux échecs et des classements de meilleurs clans dans Clash of Clans. Et c’est finalement l’aspect social qui prédomine puisque, hormis les jeux individuels, nous ne pouvons jouer sans l’autre… ce que SuperCell a bien compris.
SuperCell c’est : des “jeux superclassiques”, une “communauté superpuissante”, les “superpouvoirs du marketing” et des “supers publicités” ! Bref, SuperCell gagne sur tous les coups !
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