La loi n° 2004-391 du 4 mai 2004, relative à la formation professionnelle tout au long de la vie et au dialogue social a institué le DIF (Droit individuel à la formation) dans le but d’en réduire les inégalités d’accès. L’idée est de faciliter la prise en charge des formations choisies à l’initiative du salarié avec l’accord du salarié. Seulement, le public est rare : moins de 6 % des salariés l’ont utilisé. En cause, le manque d’information et la difficulté à articuler les carrières.
Au 1er janvier 2015, le CPF (Compte personnel de formation), dispositif utilisable par tout salarié tout au long de sa vie active, pour suivre une formation qualifiante, a succédé au DIF.