Le populisme est né en Russie à la fin du XIXe siècle. Ce mouvement prônait alors un système de pensée, voire une doctrine politique remettant en cause l’establishment, et les élites. Aujourd’hui, cette notion est devenue péjorative, le populisme s’appuyant souvent sur un discours pédagogique.
En survolant rapidement les années écoulées, on se rend compte que le populisme est devenu le cheval de bataille de bon nombre de politiciens : de Pierre de Poujade (créateur de l’UDAC en 1950) à Marine Le Pen, en passant par le Maire de Londres Boris Johnson ou encore la récente élection de Donald Trump.
Le populisme est indéniablement populaire, du moins dans les velléités du « peuple ». Mais cela durera-t-il ? Le Royaume-Uni n’est pas encore sorti de l’Europe, le programme de Trump n’a ni été financé ni été mis en place. Quant à Marine Le Pen, même si ses thèses progressent au sein de l’opinion publique, elle n’est pas au pouvoir. Qu’en restera-t-il lorsque le principe de réalité s’imposera ?
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