Depuis octobre, on peut voir en salle le film-catastrophe Deepwater Horizon, qui retrace le naufrage la plateforme pétrolière du même nom dans le golfe du Mexique en 2010.
Son explosion et sa disparition, le 22 avril 2010 à 83 miles marins des côtes de Louisiane, ont entraîné une fuite d’hydrocarbures estimée à 779 millions de tonnes (soit l’équivalent de 40 Erika) ainsi que la disparition de 11 membres d’équipage.
La cause de l’accident concerne une erreur dans la gestion des risques à bord. Et la conception même de la plateforme a joué comme un élément facilitateur de la catastrophe, en empêchant une partie de l’équipage de pouvoir être évacuée. Il faut enfin souligner un certain laxisme de la part de l’administration américaine qui n’a pas assuré correctement son rôle de contrôle.
Olivier Lasmoles analyse l’impact de cette catastrophe sur la réglementation des activités offshore. Retrouvez l’intégralité de l’article sur The Conversation