UNE école, DES profils, DES métiers

Photo : UNE école, DES profils, DES métiers

Une Grande Ecole de management, c’est avant tout une promesse : celle de diplômer des jeunes aptes à s’insérer rapidement sur le marché du travail, armés pour évoluer sereinement et s’épanouir tout au long de leur parcours professionnel. C’est aussi l’assurance de suivre un programme académique de haut niveau, reconnu sur le plan international et dans le monde de l’entreprise. Et c’est également, la garantie de partager et d’échanger avec des enseignants-chercheurs, des professionnels, des experts du monde entier… mais aussi avec des étudiants de tous horizons. Cette réalité, c’est la marque de fabrique de l’EM Normandie qui a su mixer dès 2007 des populations recrutées après bac, classes prépas, en admission parallèle et via des concours internationaux.

Tous les chemins mènent… aux Grandes Ecoles !

Historiquement, le recrutement se faisait dans les classes prépas ce qui a évidemment contribué à positionner nos établissements comme des lieux d’excellence. Mais le monde change et le « sourcing » ne peut plus se concentrer sur une filière unique. Quoiqu’en disent les “puristes”, démultiplier les voies d’accès ne nuit en rien à la qualité des jeunes diplômés qui arrivent sur le marché. Au contraire ! Nous savons la richesse d’une cohabitation entre les élèves des prépas et ceux issus des formations les plus diverses, en France comme à l’étranger. Nos campus ressemblent à des tours de Babel où l’on parle toutes les langues et où les centres d’intérêt sont multiples. Les IUT, les universités, les écoles spécialisées contribuent à nourrir l’expérience étudiante et nous poussent à faire évoluer notre pédagogie dans la bonne direction pour révéler de jeunes talents ouverts, curieux et doués d’une formidable capacité d’adaptation. D’ailleurs, les entreprises le reconnaissent elles-mêmes en recrutant nos diplômés massivement.

De la richesse de la diversité

Cette pluralité des profils trouve son écho du côté de la formation elle-même. Exit les cursus linéaires : aujourd’hui, la chance est donnée à chaque étudiant de construire son parcours à la carte en fonction de son cursus initial, de ses appétences et de ses aspirations. Tracks 100% en anglais, alternance, expatriation, spécialisation : les combinaisons sont multiples et offrent au niveau professionnel, un vaste champ des possibles. D’ailleurs si l’appellation « école de commerce » tend à disparaître au profit de la dénomination « école de management », ce n’est pas un hasard ! Aujourd’hui le rôle de nos Grandes Ecoles est de former des managers agiles capables d’évoluer dans des fonctions-clés de l’entreprise, des ressources humaines à la logistique en passant par la finance, le marketing ou encore l’évènementiel. Le tout avec une bonne dose d’appétence pour les nouvelles technologies, la mobilité et la responsabilité sociétale de l’entreprise. Elles constituent également un terreau fertile pour l’entrepreneuriat avec des jeunes qui n’ont plus peur de se lancer dans l’aventure pourvu que leur carrière leur permette de réaliser leurs rêves et de se réaliser tout simplement. En réalité, peu importe le niveau d’entrée. Ce qui compte avant tout, c’est bien le diplôme à la sortie et ce que les étudiants en font ensuite forts de leurs connaissances et de leurs compétences intrinsèques ! Et sur ce sujet, les grandes écoles sont un tremplin indiscutable.

English Version

Auteur(s)

Photo : Entre hybridité, interactivité et modularité, les nouveaux enjeux de l’enseignement

Entre hybridité, interactivité et modularité, les nouveaux enjeux de l’enseignement

Donner du rythme et du mouvement en scénarisant l’acquisition des connaissances, tel est l’enjeu des nouvelles approches pédagogiques dont l’objectif est de renforcer l’engagement des élèves. Les temps changent… vite. Après avoir basculé dans le tout digital, à nous de trouver un modèle hybride cohérent, en phase avec notre public dont les envies et les […]

Lire la suite

Photo : Enseignants : rémunérer les heures supplémentaires rendrait-il le métier plus attractif ?

Enseignants : rémunérer les heures supplémentaires rendrait-il le métier plus attractif ?

Un article publié sur The Conversation. Avec la baisse du nombre de candidats aux concours de l’enseignement, à laquelle s’ajoute un taux de démission élevé dans les premières années de carrière, l’Éducation nationale s’est retrouvée confrontée à un grand nombre de postes non pourvus, de la maternelle au lycée, et a dû organiser des recrutements […]

Lire la suite