Améliorer la qualité des services publics via un nouveau décret instaurant le droit à l’erreur : c’est ce que propose le gouvernement Macron avec le projet de loi « pour un Etat au service d’une société de confiance ». En clair, un usager qui se trompera dans ses déclarations à l’administration n’encourra pas de sanction lors de la première erreur si elle est commise de bonne foi…
Est-il possible de restaurer la confiance par une loi ? La bienveillance de l’administration peut-elle simplifier les relations avec les usagers et faire enfin évoluer un système administratif complexe et peu lisible ?
Retrouvez l’analyse de Caroline Diard, enseignant-chercheur à l’EM Normandie, dans son intégralité sur TheConversation.fr